Les six étapes pour vaincre sa timidité dans le monde du travail

La timidité touche beaucoup d’entre nous. Plus ou moins importante selon les personnes et les situations, elle est quelque chose de très commun. Elle peut être liée à un stress, à un traumatisme ou à manque d’habitude et de confiance en soi.
Une timidité excessive est un handicap dans la vie de tous les jours, mais plus particulièrement dans le monde du travail. Cela commence par la difficulté d’aller au devant des recruteurs lors d’une recherche d’emploi, de s’intégrer lors de son arrivée. Puis vient le bloquage lors des prises de parole en public et la difficulté à  s’affirmer lors de travaux en équipe.
Elle freine le bien-être au travail et empêche de montrer ses réelles capacités.
C’est un combat d’habitudes a prendre, et aussi un travail sur soi- même pour relativiser.

1) Arrêtez de vous poser une foule de questions et d’analyser les moindres détails.

Vous vous vous souciez probablement trop de ce que les personnes vont penser de votre travail, de ce que vous êtes, ou de vos erreurs éventuelles.
Accordez moins d’importance aux avis des gens : chaque personne est différente, l’erreur est humaine et tout le monde ne peut pas vous apprécier.

2) Se fixer des objectifs.

Pour avancer, il faut progressivement aller au devant des choses qui vous bloquent, à votre rythme.
Par exemple, si prendre la parole en public est pour vous un réel cauchemar, tentez donc une première étape plus simple et moins importante qui vous aidera. Comme une prise de parole lors d’un réunion en petit comité.

3) Penser à tout ce dont vous avez été capable

Repensez à tout ce que vous avez accompli dans le passé. Regardez rétrospectivement tout ces évènements positifs dont vous pouvez être fier/fière et ce que vous avez accompli. Vous regagnerez de l’assurance car la timidité est un problème de confiance en soi. Vous n’êtes pas incapable, vous avez réalisé des choses qui se sont soldées par une victoire, c’est une force que vous devez puiser en vous. Lorsque vous doutez, prenez une minute pour y penser.

4) Vaincre la timidité grâce à l’observation

Afin de moins vous focaliser sur vous, intéressez-vous donc aux autres.
Observez comment les gens agissent, réagissent. Au travail, dans la rue, essayez de comprendre comment ils procèdent. Vous vous rendrez compte que ces choses qui vous bloquent sont bel et bien possibles, car les autres y arrivent. Vous verrez ainsi que vous n’êtes pas le centre  d’intérêt et des critiques. Vous êtes simplement une personne de plus.
5) Vaincre la timidité par l’auto-persuasion
Avant une présentation orale ou un entretien,  il est simple de se dire « je peux le faire » , « je suis  le meilleur » , qu’il n’y a aucune raison de douter de nos capacités et qu’il est temps de « montrer de quoi je suis capable ». Surtout de s’imaginer que cette intervention va être une réussite. Cette stimulation du dépassement personnel vous prépare psychologiquement  à entrer en action.Vaincre sa timidité, c’est aussi se persuader que c’est quelque chose qui nous est proprement bénéfique.

6) Vaincre la timidité en relativisant

Voilà qui paraît évident : pour surmonter la timidité, il faut être capable de comprendre qu’elle n’est qu’une limitation, une barrière. Quelle que soit la situation à laquelle vous faites face, elle n’est pas mortelle. Votre vie ne s’arrêtera pas si vous ratez votre oral, votre entretien d’embauche ou si on pense que vous êtes stupide. Vous aurez toujours l’occasion de vous améliorer, de faire évoluer les jugements à votre égard. Il faut être capable de ne pas prêter attention aux éventuelles conséquences afin de profiter de l’expérience, toujours formatrice, et ce, quel qu’en soit le résultat. Faites-le avec le sourire plutôt qu’avec la boule au ventre.

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« Or » et « hors » : quelle différence ?

On écrit « or » : « or » est une conjonction de coordination qu’on peut remplacer par « et », « mais », « cependant » ou « et pourtant ». Astuce : si vous pouvez remplacer dans la phrase « or » par « et pourtant » sans en altérer le sens, alors il s’agit bien de la conjonction de coordination et non de « hors ». 

Exemples : Le facteur devait arriver en avance, or il est en retard. 

J’étais convaincu qu’il réussirait son examen, or il a échoué.

 Tout, dans son comportement, semblait dire: puisqu’il ne m’aime plus, rien ne m’importe. Or je l’aimais encore, et même je ne l’avais jamais tant aimée; mais le lui prouver ne m’était plus possible. Gide, Journal, 1939 

Mwindi repartit, plus sombre que jamais. Or ce jour-là, en revenant du Shamba, Ngui et moi nous livrions à cette activité bien dans le tempérament des hommes, projeter une opération qui n’aurait jamais lieu. Ernest Hemingway, La Vérité à la lumière de l’aube 

À cette occasion, il n’avait pas marchandé de dures vérités à son auditoire. De là, sa réputation. Or, vers la fin de ce mois, les autorités ecclésiastiques de notre ville décidèrent de lutter contre la peste par leurs propres moyens… Albert Camus, La Peste 

On écrit « hors » : « hors » est une préposition synonyme de « au dehors de » ou « à l’extérieur de ». On la retrouve dans plusieurs expressions populaires : hors la loi, hors jeu, hors champ, hors ligne, hors de question etc. 

Exemples : Il était hors de question que vous cédiez. Simone de Beauvoir, Les Mandarins, 1954 

Si on est passé à Aubignane, ce printemps, c’est qu’une chose nous a poussés vers ce pays, hors de notre route, avec de la peur. Giono, Regain, 1930 

Du reste, quand le sommeil l’emmenait si loin hors du monde habité par le souvenir et la pensée, à travers un éther où il était seul, plus que seul, n’ayant même pas ce compagnon où l’on s’aperçoit soi-même, il était hors du temps et de ses mesures. Proust, À la recherche du temps perdu 

Je vous trouve hors de chez vous, presque dévêtue, dans un appartement meublé. Qu’êtes-vous venue y faire ? Gui de Maupassant, Bel-Ami 

Croissance de tous les légumes selon les besoins de chacun ! En saison ! Hors saison ! Céline, Mort à crédit, 1936 


Source---> https://www.lalanguefrancaise.com/orthographe/or-hors/

Education: Les cris bloquent le cerveau des enfants.

Hausser la voix ne sert à rien ! Plus on crie, moins l’enfant comprend. Souvent, lorsqu’un parent crie, ce n’est pas contre l’enfant, c’est parce que lui-même éclate.
De plus, nous avons tendance à faire écho à l’éducation que nous avons nous-même reçue. Nous répétons de manière inconsciente les mots et les gestes que nos parents avaient envers nous lorsque nous étions plus jeunes et que nous nous faisions disputer.
Nos neurones miroirs nous jouent un tour et nous faisons du mimétisme avec notre parent.
Parfois, on peut aussi faire le contraire pour ne pas reproduire le modèle de nos parents ! Mais ceci n’est pas éducatif.
Solution > La chaîne ne peut se rompre que si l’on prend conscience que cette réaction n’était pas la bonne de la part de notre propre parent, et soigner notre enfant intérieur d’une blessure (peur ou humiliation) pas tout à fait guérie.
La parentalité positive nous oblige ainsi à désapprendre tous ces automatismes et à gérer les situations de façon éducative.
A chaque fois que vous vous surprendrez à sentir cette exaspération qui monte, respirez et rappelez-vous votre histoire.
Quand on crie, l’enfant a peur, l’amygdale reçoit les impulsions de l’extérieur et déclenche une alarme. Elle envoie des hormones de stress dans tout l’organisme.
Plus tard, il suffira d’une grosse voix ou d’un cri pour que cette alarme sonne. Lorsqu’on crie trop sur un enfant, son amygdale va se cristalliser et l’enfant se désensibiliser, ou au contraire, sur-réagir et avoir peur au moindre bruit.
Si un enfant fait une bêtise de l’ordre de la maladresse, au lieu de crier, donnez-lui tout simplement les moyens de se responsabiliser et de réparer.
Au fond, les enfants adorent réparer. S’ils sont pétrifiés par la peur, par vos cris, ils ne feront pas les choses correctement.
Posez-vous toujours la question : dans cette situation, qu’est-ce qui va être éducatif pour lui ?

Source: papapositif

18 juillet: journée internationale Nelson Mandela

18 juillet: Journée Internationale Nelson Mandela, pour la LIBERTE la JUSTICE et la DEMOCRATIE. C'est aussi son anniversaire de naissance!

La Journée internationale Nelson Mandela (en anglais : Nelson Mandela Day) fut proclamée par l'UNESCO le 10 novembre 2009 et est célébrée le 18 juillet de chaque année afin de commémorer la contribution de Nelson Mandela, militant de la cause anti-apartheid et premier président noir d'Afrique du Sud à « la promotion d'une culture de paix »


Cinq citations célèbres de Mandela

1-«Au cours de ma vie, je me suis entièrement consacré à la lutte du peuple africain. J’ai lutté contre la domination blanche et j’ai lutté contre la domination noire. Mon idéal le plus cher a été celui d’une société libre et démocratique dans laquelle tous vivraient en harmonie et avec des chances égales. J’espère vivre assez pour l’atteindre. Mais si cela est nécessaire, c’est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir.»

2.«Etre libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres.»

3. «L'oppreseur doit être libéré tout comme l'oppressé.Un homme qui prive un autre homme de sa liberté est prisonnier de la haine, des préjugés et de l'étroitesse d'esprit.»

4. «Je suis très strict sur les questions de ponctualité, non seulement parce que je pense qu'il s'agit d'un manque de respect envers la personne que vous allez voir mais aussi pour lutter contre le stéréotype occidental selon lequel les africains seraient toujours en retard."

5.«Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé».


17 juillet: journée mondiale des émojis😉

Aujourd'hui, c'est la journée mondiale des emojis😉

Comme tous les ans depuis 2014, le 17 juillet est le World Emoji Day. L’occasion de célébrer ces symboles désormais omniprésents sur Internet et dans nos smartphones.

Nés au Japon entre 1998 et 1999, les émojis sont parfois associés à tort aux smileys, quant à eux créés aux Etats-Unis dans les années 70. C’est Shigetaka Kurita, ingénieur chez NTT DoCoMo à la fin des années 90, qui créa les premiers 172 emojis. Depuis, ces derniers ont proliféré, et on en compte aujourd’hui des milliers, disponibles sur de nombreuses plateformes Web et mobiles.
Stars d’un (très mauvais) film d’animation en 2017, les emojis sont envoyés quotidiennement par milliards à travers le monde : selon une étude datant de 2016, 4,6% des messages envoyés en ligne en contiennent, et il ne fait aucun doute que ce pourcentage a, depuis, augmenté. Rien que sur #Facebook Messen
ger, ce sont 5 milliards d’emojis qui sont échangés chaque jour.

Ces petites icônes sont donc devenues, au fil des années, une nouvelle forme de langage très prisée, qui permet de faire passer différemment les émotions lorsque le langage verbal ou physique ne peut pas être utilisé. Cela méritait bien une journée mondiale dédiée, non ? En tout cas, aujourd’hui, n’hésitez pas à en abuser.😉

Un aigle ou une poule ? Comment nous laissons les autres déterminer notre potentiel

Un homme trouva un jour un œuf d’aigle et le déposa dans le nid d’une poule. L’aiglon vit le jour au milieu d’une portée de poussins de basse-cour et grandit comme eux.
Toute sa vie l’aigle fit ce qu’une poule de basse-cour fait normalement. Il chercha dans la terre des insectes et de la nourriture. Il caqueta de la même façon qu’une poule de basse-cour. Et lorsqu’il volait, c’était dans un nuage de plumes et sur quelques mètres à peine.

Après tout, c’est ainsi que les poules de basse-cour sont censées voler.
Les années passèrent. Et l’aigle devint très vieux. Un jour, il vit un oiseau magnifique planer dans un ciel sans nuage. S’élevant avec grâce, il profitait des courants ascendants, faisant à peine bouger ses magnifiques ailes dorées.

« Quel oiseau splendide ! » dit notre aigle à ses voisins… « Qu’est-ce que c’est ? »
« C’est un aigle, le roi des oiseaux » …caqueta sa voisine…. « Mais oublie ça. Tu ne seras jamais un aigle. »

Ainsi l’aigle n’y pensa jamais plus.
Il mourut en pensant qu’il était une poule de basse-cour.

Ce petit conte indien nous invite à réfléchir sur la condition de cet aigle qui a fini par se prendre pour un poulet.
Imaginez que l’aigle ait refusé de permettre à quelqu’un d’autre de définir son potentiel. Imaginez qu’il ait perçu sa capacité unique et qu’il se soit libéré, qu’il ait ouvert ses ailes puissantes et se soit envolé au-dessus de tous les poulets qui avaient refusé de reconnaître sa vraie puissance et sa réelle identité. Imaginez comme il se sentirait s’il s’était approprié pour la première fois la responsabilité de sa destinée.
Il ne faut jamais laisser les autres déterminer qui vous êtes et de quoi vous êtes capable. Ecoutez leurs conseils, respectez les règles de la communauté qui vous a intégré, mais sachez aussi vous fier à votre propre intuition, et n’hésitez pas à prendre votre envol.
Retenez aussi qu’il faut souvent dépasser certains préjugés, sur les autres comme sur soi-même. Notre culture et notre éducation nous font parfois oublier qui nous sommes vraiment.
Avez-vous confiance en vous ? Croyez-vous en vos capacités malgré l’opinion des autres et malgré vos propres doutes et peurs ?
Racontez-nous si vous aussi êtes entouré de poules qui ne croient pas en vous et si cela vous décourage de vous envoler…

(Via pensées positives)

La femme et l’oiseau – une histoire sur l’importance de la liberté individuelle dans le couple

La femme et l'oiseau

Il était une fois un oiseau, doté d’une paire d’ailes parfaites aux plumes étincelantes et aux couleurs merveilleuses. Bref, un animal fait pour voler librement dans le ciel, à la plus grande joie de ceux qui l’observaient.

Un jour, une femme vit cet oiseau et s’en éprit. Elle le regarda voler, bouche bée d’admiration, le cœur battant la chamade, les yeux brillants d’émotion. Il l’invita à l’accompagner, et ils volèrent ensemble en complète harmonie. Elle admirait, vénérait, célébrait l’oiseau. 
Mais un jour la femme pensa: « Peut-être aimerait-il découvrir des montagnes lointaines ? » Elle eut peur. Peur de ne plus jamais éprouver cela avec un autre oiseau. Et elle se sentit jalouse de l’oiseau et de son pouvoir de voler.
Elle se sentit seule.
« Je vais lui tendre un piège, pensa-t-elle. La prochaine fois que l’oiseau apparaîtra, il ne repartira plus. »

L’oiseau, qui était lui aussi épris, revint la voir le lendemain. Il tomba dans le piège et fut emprisonné dans une cage.
Chaque jour, la femme le contemplait. Il était l’objet de sa passion, et elle le montrait à ses amies, qui s’exclamaient: « Tu es une personne comblée ! »
Cependant, une étrange transformation commença à se produire: comme l’oiseau était à elle et qu’elle n’avait plus besoin de le conquérir, la femme s’en désintéressa. L’animal, qui ne pouvait plus voler ni exprimer le sens de sa vie, dépérissait et perdait son éclat, il s’enlaidit – et la femme ne lui prêtait plus attention que pour le nourrir et nettoyer sa cage.
Un beau jour, l’oiseau mourut. 

Elle en fut profondément attristée et ne cessa dès lors de penser à lui. Mais elle ne se souvenait pas de la cage, elle se rappelait seulement du jour où elle l’avait aperçu pour la première fois, volant, heureux, aussi haut que les nuages.
Si elle s’était observée elle-même, elle aurait découvert ce qui l’avait tellement émue chez l’oiseau, c’était sa liberté, l’énergie de ses ailes en mouvement, et non son aspect physique.
Sans l’oiseau, sa vie même perdit son sens, et la mort vint frapper à sa porte.
« Pourquoi es-tu venue? », lui demanda la femme.
« Pour que tu puisses voler de nouveau avec lui dans les cieux », répondit la mort. Si tu l’avais laissé partir et revenir à chaque fois, tu l’aurais aimé et admiré bien davantage; désormais, tu as besoin de moi pour pouvoir le retrouver. »

Apprendre à laisser de l’espace à l’autre est essentiel à une relation heureuse et de confiance. Moins vous essaierez de « posséder » votre partenaire, plus vous éprouverez un amour véritable. Donnez-vous de l’espace et soyez libre!

Source: pensées positives

L'île aux sentiments

Il était une fois, une île ou tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris.

Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent. Seul l'Amour resta.

L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment. Quand l'ile fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide. La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour lui dit, "Richesse, peux-tu m'emmener?"
"Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas
 de place pour toi."

 L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau, "Orgueil, aide-moi je t'en prie !" "Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau."

La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda, "Tristesse, laisse-moi venir avec toi." "Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !"

Le Bonheur passa aussi à coté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendît même pas l'Amour l'appeler !

Soudain, une voix dit, "Viens Amour, je te prends avec moi." C'était un vieillard qui avait parlé.

L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.

L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir "Qui m'a aidé ?" "C'était le Temps" répondit le Savoir.

    "Le Temps ?" s'interrogea l'Amour. "Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?"
Le Savoir, sourit plein de sagesse, et répondit :
 "C'est parce que Seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie."

Source: club positif